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| Sujet: Concours - Vous avez dit fantôme...? Ven 16 Juin - 20:45 | |
| VotesCandidat 1 - Par ici...:
PAPA JAMBA ► Âge : Mort au cours de sa 34ème année d’existence. ► Né : Aux environs du XVIIIème siècle, Louisiane ► Ancien métier : Esclave / Marabout Physique et caractère : Comme tout bon fantôme qui se respecte, l’apparence générale de Papa Jamba est translucide. Des reflets bleus parcourent son corps perclus de cicatrices. Ses cheveux longs sont tressés en une myriade de nattes constellées de perles et plumes (voir même de petits os). Une peinture blanche dessinant grossièrement les traits d’un crâne recouvre la moitié de son visage alors que sa lèvre inférieure est percée d’anneaux auxquels sont accrochées des dents. Sa stature imposante, ses muscles saillants, ainsi que son expression narquoise n’inspirent généralement pas confiance. Ses yeux creusés et cerclés de charbon lui assurent un regard terrifiant qu’il utilise sans modération sur ceux qu’il cherche à effrayer. Outre tout cela, notons que des colliers de perles sur lesquels pendent des têtes réduites d’elfes de maison ajoutent une touche folklorique indécente à ce portrait riche en couleur. Un détail est difficile à remarquer sous ce désordre d’apparats : un estampillage discret sur son cou qui signe les initiales de son ancien propriétaire. Son accent américain offre une musicalité inhabituelle aux bavardages qui animent les couloirs de Poudlard. On peut parfois l’entendre chanter le blues près de la fontaine aux souhaits, ou même écouter des bribes de rituels vaudous les soirs de pleine lune. La caractère de Papa Jamba est bien trempé. Il a sa vision des choses et une justice toute personnelle. Pour vous donner un exemple, une raison qui n’est connue que de lui même le pousse régulièrement à s’embrouiller avec les elfes de maisons récemment libérés de leur asservissement. Friand des histoires de coeur il prête souvent une oreille attentive aux étudiants malmenés par les maux de cupidon. C’est un grand sentimental qui, s’il est ému par vos mots, pourra pleurer avec vous de longues minutes. Il est cependant formellement interdit de pactiser avec lui s’il vous le propose. L’équipe enseignante y veille par de nombreux avertissements en début d’année. La direction décline en outre toutes responsabilités en cas de non respect de cette consigne. Légende : À Poudlard, de nombreuses rumeurs et histoires courent au sujet de Papa Jamba. Avérées ou non, le mystère plane et se répand parmi les étudiants depuis son arrivée dans l'aile universitaire du château. Selon la légende la plus fameuse, Papa Jamba aurait déjà torturé des élèves à l'aide de ses poupées vaudous en subtilisant un de leur cheveux. On raconte aussi qu'il est réceptif aux peines de coeur des étudiants, sa pratique de la magie rouge, aurait soi-disant aidée quelques personnes à trouver l'âme soeur. La plus cruelle des rumeurs suppose qu'il aurait un jour sacrifié le crapaud buffle d'un élève pour son rituel mensuel dédié à Erzulie, sa divinité favorite. Notes : Erzulie est l’esprit de l’amour dans le culte vaudou Histoire : Vie de chair : Félix - Matricule 328, telle était l’identité officielle de notre revenant. Né esclave. Il travaille alors dans une plantation de coton de Louisiane. Le fouet rythme ses journées, et rudes sont ses heures de labeur. Seulement voilà, Félix - matricule 328 n’est pas qu’un esclave considéré comme un simple meuble. Il est le sorcier vaudou de toute une communauté noire. Fameux Marabout, surnommé Papa Jamba par ses pairs, il pratique des rites païens interdits, se risquant à subir la sentence réservée aux déviants de son peuple. Une dernière aiguille : Papa Jamba, témoin des trop nombreuses sévices sexuelles des maitres de la plantation, décide d'y mettre un terme. Seul un cheveu de sa future victime est nécéssaire pour mener à bien son rituel fatal. Le maitre est mort d’une "crise cardiaque", chuchote t-on dans les rangées de coton. Avec Papa Jamba et ses poupées vaudous, on ne viole plus ses soeurs impunément. Enivré par son pouvoir de vie et de mort il assassinera encore une fois. Malheureusement, le rituel se retournera contre lui, il meurt juste après avoir planté sa dernière aiguille en ayant utilisé par mégarde son propre cheveu. Vie d'errance : Si le mythe du démon des croisements ne vous est pas inconnu, alors vous connaissez sûrement notre fantôme vaudou. Lors de ses années d’errance à hanter le sol américain, Papa Jamba est devenu un personnage illustre des mythes et légendes de la culture populaire. Offrant ses services aux personnes désespérées qui savaient l’émouvoir. Dévoilant son apparence effrayante et évanescente aux personnes en détresse qui se perdaient sur les routes de campagne. Leur proposant son aide en contrepartie d'un bout d'âme à sacrifier. Sa célébrité fut cependant posthume car on n'eût connaissance de ses magouilles qu'à partir des prémices du blues. C'est à dire bien des années après sa mort lorsqu’il roulait sa bosse aux abords du Delta du Mississippi. Le mythe de Robert Johnson : C'est lors de son pacte avec un certain Robert Johnson junior, aujourd'hui considéré comme un grand nom du blues, que la notoriété énigmatique de Papa Jamba naquit d’une chanson. Promettant au jeune musicien célébrité et génie en l’échange d’une partie de son âme. La chanson Cross Road Blues lui rendrait-elle honneur ? Arrivée en Europe : Non content de sillonner la cambrousse américaine, Papa Jamba se décide un jour à prendre le large pour l'Europe. Comprenez bien que des années d'errance éternelle ne sont pas toujours faciles à meubler. Espérant s'instruire sur le vieux continent auprès des sorciers occidentaux, c'est en foulant le sol Anglais d'un vieux château impressionnant qu'il découvre avec stupeur que son nom figure au palmarès des fantômes aux morts les plus stupides. Paroles de Cross road Blues by Robert Johnson :I went to the crossroad, fell down on my knees Asked the Lord above "Have mercy, now save poor Bob, if you please" Standin' at the crossroad, I tried to flag a ride Didn't nobody seem to know me, everybody pass me by The sun goin' down, boy Dark gon' catch me here, boy I haven't got no lovin' sweet woman that love and feel my care You can run, tell my friend-boy Willie Brown Lord, that I'm standin' at the crossroad, babe I believe I'm sinkin' down En bonus un croquis rapide de Papa Jamba dans ses différentes formes :
Candidat 2 - Par là:
Cuthbert Binns Le fantôme de l'université | Le professeur Binns est bien connu des élèves ayant passé leurs A.S.P.I.C.s avant la création de l'Université. Et pour cause! C'était leur professeur d'Histoire de la Magie! Cela fait des décennies que le Professeur Binns enseigne à Poudlard. Personne ne se souvient exactement quand il a commencé, si ce n'est de son vivant. La rumeur dit que c'était un professeur si dévoué qu'il a enseigné jusque dans ses plus vieilles années, et que, mourrant dans son sommeil, le professeur s'est simplement levé le lendemain matin pour faire cours, laissant sa dépouille derrière lui. Les cours du Professeur Binns n'étaient pas les plus passionnants (à vrai dire, ils étaient réputés pour être un véritable remède aux insomniaques), mais ils étaient véritablement les plus riches, pour quiconque arrivait à suivre la voix monotone du Professeur. Durant la Grande Guerre, lorsque Voldemort a pris le contrôle de l'école, il est dit que le Seigneur des Ténèbres a voulu forcer le professeur à changer ses cours pour y inclure de la propagande anti-moldu. Le Professeur refusa. Si un autre professeur de l'Histoire de la Magie a été nommé et les élèves forcés de suivre l'autre cours, jamais personne n'a pu chasser le Professeur Binns du château ni l'empêcher d'enseigner l'Histoire telle qu'elle était... Depuis, la paix et revenue, et lorsque l'aile Universitaire a été ouverte, Minerva McGonagall lui y proposa un amphithéâtre. Le Professeur Biinns y fait désormais ses lectures, et parcourt même les couloirs à toute heure du jour et de la nuit, parvenant toujours un étudiant en besoin de guidance dans ses recherches. S'y trouvant plus épanoui, avec des élèves plus aptes de suivre et comprendre ses cours, il a laissé son poste à un autre sorcier, ne quittant plus que rarement les murs de l'université, devenu la véritable encyclopédie plannante de Poudlard. |
Candidat 3 - Par ici !:
« ♫ Tu-sais-qui est un travesti yeah yeah Y a qu’à voir ses deux yeux de biche Sa cape noire aussi laide qu’mes miches Sa baguette tendue devant lui ooooouuuh-là-là Il l’a dégainée ! Furieux et démasqué Le vieux serpent est vexé Oh oh Il pensait garder son secret PAN et BIM il condamne tous les fins limiers Woooo-oooohhh… ♫ »
Joey S. Mickens n’avait jamais été un fan de combat ou de bataille, il était trop fainéant et angoissé pour ça. Il avait alors montré son opposition à l’apogée de Voldemort dans les années 70 à sa manière, avec ses chansons de rock grivoises. Son groupe, le quatuor britannique The Cantankerous Chizpurfles avait acquis une bonne notoriété dans cette période sombre. Leurs chansons passaient sur les ondes illégales de la radio sorcière. Les plus connues étaient « Voldy le soumis », « Travesti agacé » et « Le râle du Sombral ». Passionné de musique et également de Champifleur et d’autres substances aux effets discutables, il fallait avouer qu’il était un personnage qui semblait peu recommandable. Sa voix rauque, son humour douteux ainsi que son apparence déjà défraîchie à vingt ans reflétaient son intérieur de clown triste. Joey n’était pas bien méchant ni dangereux en réalité, il avait simplement eu une enfance de Sang-Mêlé difficile. Originaire des highlands d’Ecosse, il avait grandi dans la nature avec sa mère moldue, son père les ayant quittés lorsqu’il était bambin. Poudlard avait été difficile, il ne parvenait pas à se faire beaucoup d’amis, ses dons magiques étaient limités et ses camarades le traitaient souvent de Cracmol. Envoyé à Gryffondor sans comprendre pourquoi, il a grandi dans un mépris de ses pairs, qu’il qualifiait à tout va « d’infâmes péteurs minaudiers ».
Ses chansons l’avaient vraiment fait se sentir vivant à sa sortie de l'école et furent ce qu’il avait préféré dans sa courte existence, bien que la qualité musicale ne fût pas vraiment transcendante. Courte vie, car Vous-savez-qui eut vent de ces chefs-d’œuvre musicaux qui se payaient sa tête, et n’appréciât étonnamment pas la douce mélopée. Un jour de mai 1979, après presque dix ans de tubes graveleux et moqueurs - bien qu’ils ne mentionnaient pas tous le seigneur des ténèbres - Voldemort trouva l'endroit ou s'exerçaient les Cantankerous Chizpurfles. Il n’eut aucun mal à supprimer ces quatre adolescents attardés qui avaient abusé du Whisky Pur Feu. Ce fut dans un éclair de lumière verte, sur le canapé moisi d’une salle de répétition miteuse de Birmingham, à 29 ans, que se termina l’existence de Joey Stephen Mickens.
Enfin, pas tout à fait…
Réincarné en fantôme, il s’amusa pendant des années à effrayer les moldus dans des endroits incongrus, sans jamais trouver de véritable but à son après-vie. Lors de l’ouverture de l’aile universitaire de Poudlard, il décida qu’il en ferait son Quartier Général, que les sorciers, professeurs ou autres hauts placés péteurs minaudiers le veuillent ou non.
Les étudiants se sont habitués à voir sa silhouette mince et courbée se promener dans les couloirs. Ses cheveux mi-longs avaient autrefois des reflets cuivrés, mais ont toujours été sales et mal coiffés. Vêtu d’un T-shirt informe, d’une veste en cuir, d’un jean crasseux et d’une paire de boots défraichies, sa manière de se déplacer lentement à travers les murs reflète sa démarche traînante d’autrefois. Les jeunes fréquentant l’université l’ont surnommé Rockamicky, comme un prénom à part entière, en référence à son nom de famille. Curieusement, Joey apprécie beaucoup ce surnom qui lui rappelle ses belles années.
Taxant des clopes aux étudiants alors qu’il ne sent même pas le goût du tabac, draguant lourdement les jeunes femmes et s’amusant à faire claquer les portes et éteindre les lumières, Joey n’est pas un fantôme discret. Il est possible d’avoir des discussions avec lui bien-sûr, cela casse la monotonie de son quotidien éternel. Il apprécie qu’on lui demande de chanter l’un de ses vieux tubes, sa voix rocailleuse et ses paroles impertinentes peuvent alors résonner des heures entières. Son passe-temps favori est de suivre les étudiants, il s’intéresse de près à leur vie privée en leur posant des questions gênantes et en leur chantant dans les oreilles. Ne vous aventurez pas à boire un breuvage alcoolisé devant lui, sa jalousie le rendra fou de rage. Il essaye encore souvent de composer des nouveaux morceaux, avec des instruments tout à fait saugrenus : des chaudrons sautillants sur leur socle, des tiroirs qui s’ouvrent ou encore du parchemin qui se déchire. Il nomme cette pratique la « musicologie magique exploratoire », avec un air fier et assuré. Il est donc habituel d’entendre une cacophonie accompagnée d’une voix forte et peu mélodieuse lorsque l’on parcourt les couloirs de l’aile universitaire. Mieux vaut ne pas déranger dans ces moments-là, sauf si c’est pour faire un bœuf. Les salles sont très souvent complètement retournées après le passage du fantôme, comme si une tornade était passée.
Mais au moins, et il faut l’admettre, c’est rock’n’roll. [/quote]
Candidat 4 - Par ici !:
La (ou les) Siamoise(s)
Peu de fantômes sont aussi redoutables et redoutés que celui de la Siamoise. Inconnue de la plupart des résidents de Poudlard avant la construction de l’aile universitaire, la Siamoise résidait autrefois dans l’un des plus grands cachots de l’école qui, par un heureux hasard, se trouvait être l’un des plus difficiles d’accès.
Lors de la création de l’aile universitaire cependant, la Siamoise vit en ce nouvel espace un nouveau lieu de hantise, encore peu fréquenté par le reste des fantômes du château. C’est ainsi qu’elle fit de l’aile universitaire de Poudlard sa nouvelle demeure, bien plus agréable à hanter qu’un cachot.
En l’espace de quelques années toutefois, la Siamoise avait déjà atteint un niveau d’impopularité situé entre celui du Baron Sanglant et celui de Peeves. D’un caractère irritable, le fantôme fut rapidement agacé par le comportement jugé irrespectueux des étudiants, le tumulte des potions et des sortilèges expérimentaux qui explosent un peu partout dans le bâtiment, et la propension de Peeves à vouloir lui faire perdre son sang-froid.
Mais à qui est la Siamoise ?
Céphalée et Epistaxie Rowle étaient deux siamoises possédant en tout deux bras, deux jambes et donc deux têtes. Nées a priori dans la famille Rowle au XIXème siècle (aucun généalogiste n’a pu retrouver leur trace dans les arbres généalogiques de la famille), elles vécurent une vie isolée, dans un ancien monastère qu’elles avaient rénové et transformé en véritable musée des horreurs où se trouvaient exposés des crânes de loup-garou, des mains de voleurs moldus préservées par magie et ensorcelées pour qu’elles fassent un numéro de danse lorsque des personnes s’attardaient devant elles, et bien d’autres monstruosités.
Ces deux femmes n’étaient donc pas des personnes adorables, bien au contraire (si bien que plusieurs historiens défendent l’hypothèse qu’elles furent mi-sorcières mi-harpies). Suprémacistes sang-pur fanatiques, elles n’hésitaient pas à agresser quiconque s’approchait trop de leur Manoir de la Cléricaille. Elles finirent par attirer un peu trop l’attention du Ministère ET des Moldus habitant le village voisin. Ces derniers parvinrent à l’aide d’une habile ruse - inspirée du conte de Hansel et Gretel - à leur enlever leur baguette et à les tuer : ils empoisonnèrent Epistaxie en lui administrer un poison de sa propre création et décapitèrent Céphalée (le Visionomeur qu’avaient consulté leurs parents pratiquait un humour particulièrement morbide).
Hantant d’abord le village et le monastère, elles en furent chassées par des employés du Ministère chargés de faire oublier au village l’existence de ces deux horribles sorcières. Dès lors, le fantôme de la Siamoise rejoignit le château hanté le plus célèbre chez les sorciers : Poudlard.
A quoi ressemble-t-elle et comment se comporte-t-elle ?
C’est donc un fantôme de deux soeurs siamoises dont le faciès correspond presque parfaitement au stéréotype moldu de la sorcière, à ceci près qu’elles ne sont pas particulièrement vieilles pour des sorcières (la soixantaine tout au plus). Elles arborent toujours un visage hargneux qui va de paire avec leurs hurlements hystériques qu’elles poussent dès que quelque chose les dérange.
Corpulente, la Siamoise est habillée d’une robe volumineuse à crinoline, ornée d’un jabot tout aussi imposant et de dentelles. Epistaxie arbore un chapeau à larges bords orné de plumes d’Augurey pour couvrir un chignon austère, tandis que Céphalée, décapitée, porte sous son bras sa tête coiffée à l’anglaise, typique des années 1850 ; tête que Peeves se fait un malin plaisir à voler de temps à autres.
D’ordinaire on la voit léviter à travers la bibliothèque des érudits en marmonnant quelques remarques odieuses commençant souvent par des “De notre temps…” ou des “Sales Sang-de-Bourbes, toujours à…”, parfois merveilleusement combinées en une diatribe que même Walpurgia Black n’aurait pas débitée en public. Il n’est toutefois pas rare de la voir flotter dans les gradins d’un amphithéâtre ou, moins rarement, de l’auditorium. Ses péripéties pour retrouver sa tête ou son chapeau volé par Peeves la mènent cependant un peu partout dans le château.
Elle déteste par dessus tout les lieux où sont rassemblés les malades, ce qui implique qu’il lui faudra un cas de force majeure pour oser entrer de son plein gré dans l’infirmerie, une salle commune et la grande salle (parce que oui, l’adolescence est pour elle une maladie).
Voilà pour la Siamoise, j’espère qu’elle vous enthousiasmera autant que moi !
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| Sujet: Re: Concours - Vous avez dit fantôme...? Mer 21 Juin - 9:47 | |
| Who you gonna call ?Chers tous ! Les votes sont désormais bel et bien clos, et l'heure est venue pour nos chers étudiants de rencontrer l'âme immortelle qui erre en transparence au gré de leur aile universitaire... Une âme, dites-vous ? L'université de Poudlard semble avoir attiré bien plus qu'un seul fantôme dans les méandres de ses corridors, puisque deux revenants ont choisi de s'y installer ! Avec une égalité parfaite de votes, un grand bravo à Eleanor Brandstone pour le fantôme de Joey S. Mickens, et à Logan Bishop pour la Siamoise ! Vous recevez chacun les 30 points rp promis en récompense, et l'intégration de vos deux fantômes dans la description de l'université. Tout le staff remercie chacun des participants, dont les contributions ont toutes été lues avec grand plaisir, et tous les membres qui ont pris le temps de voter pour ce concours Vous êtes les meilleurs ! |
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