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 Percheval Rose ~ The End

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MessageSujet: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitimeMer 24 Mai - 21:49

  • nomRose
  • prénomPerceval, mais tu préfères Percy
  • célébritéFT Dylan O’Brien
  • âge25 ans
  • métierEmployé polyvalent dans un petit cinéma de quartier
  • statutMoldu
  • groupeMoldu. Un bon moldu !
  • animalUn chat de gouttière tigré, prénommé Joker.

chapitre 1

Perceval, un long et bruyant soupire s’échappe de ta bouche alors que tu commences l’ascension vers les cieux. Direction ton appartement se trouvant au quatrième et dernier étage. Tu traînes derrière toi ta valise dont les roues tapent chaque marche en bois que tu gravis. Remplissant la cage d’escalier d’un bruit sonore. Te rassurant. Te faisant te sentir moins seul dans ce lieu exigu.
Habitué à faire ce sport. Tu arrives rapidement en haut. Tu soulèves ton paillasson et récupères la clé s’y cachant pour retrouver ta tanière. Ton lit douillet. Ton chez-toi après un week-end loin de Londres. Un week-end psychologiquement fatigant. Tu ouvres la porte. Balance tes chaussures dans l’entrée, pose ton sac à dos au sol. Faisant extrêmement attention. Toute ta vie se trouve dans ce sac. Et tu l’attends. Tu sais qu’il va venir te voir. Qu’il va réclamer ton attention après trois jours d’absence. Qu’il attend caché. Le petit monstre t’a entendu. Tu le sais, Perceval. Une petite boule de poil tigrée saute griffes en avant sur tes baskets, s’attaquant à tes lacets. Tu ne peux t’empêcher de sourire. Percy, tu te baisses et le caresses doucement savourant pleinement les ronronnements de Joker. Le chat que tu as trouvé dans la rue, il n’y a pas longtemps. Depuis le début de la chasse aux sorcières.

« Alors mon gars, ton weekend s’est bien passé ? Madame Arcet n’a pas oublié de venir te nourrir ? » Ton regard se pose sur sa gamelle, se trouvant dans la cuisine ouverte, prête à déborder. « Au contraire, elle t’a gavé. Comme d’habitude. Il va falloir encore une fois que je lui dise de faire attention. Il ne faudrait pas que tu deviennes trop gros. » Tu touches son ventre déjà bien rondelet.

Perceval, tu laisses échapper un bâillement. Le trajet en train t’a exténué. Tu te sens fatigué. Traînant les pieds, tu vas t’effondrer sur le canapé. La tête dans un coussin. Tu repenses à ce qui s’est produit chez tes parents. À ta petite rébellion. Pour ne pas changer, ton père a voulu décider à ta place. Encore une fois. Il l’a toujours fait.

Enfant, tu n’y fais pas bien attention. Tu ne cherches pas. Tu écoutes ce qu’il a à dire. Tu agis comme il le souhaite. Tu veux qu’il soit fier de toi. Tu as de bonnes notes. Tu es très poli, fais attention à tous les mots qui sortent de ta bouche. Te tenant bien à l’église que tu fréquentes tous les weekends. Tes parents étant de fervents catholiques.
Et puis, un jour, tu leur as demandé si Dieu existe vraiment. Est-ce que ce n’est pas une invention pour asservir les hommes à une cause ? Tes parents l’ont très mal pris. C’est la première fois qu’ils t’ont crié dessus. Tu pleures. Fort. Beaucoup. Ne pouvant pas te calmer. Tu ne comprends pas. Tu n’as posé qu’une simple question. Ce que tu fais en classe. Et la maîtresse ne réagit pas comme ça. Tu es puni. Envoyé dans ta chambre. Ton repas se résumant à une miche de pain et de l’eau chaude.

Après ça, tu ne leurs poses plus de questions. Attendant toujours d’être en cours pour demander. La maîtresse est gentille. Elle dit qu’il n’y a pas de questions idiotes. Alors tu te laisses aller. Tu lui poses des tonnes de questions. Cherchant à comprendre. Étanchant ta soif de curiosité. Tu comprends que tu peux avoir ta propre opinion sur les choses. Pas besoin de faire tout ce que papa et maman disent. Pas obligé de penser comme papa et maman.

Tes parents élèvent une seconde fois la voix sur toi. Quand ils aperçoivent une boule navigante dans ta bouche. Ta mère te demande de tirer la langue. Sur le muscle qui te permet de parler beaucoup et tout le temps, se tient, accroché, un piercing. Tu leur expliques que tu étais obligé de le faire suite à un pari idiot avec des camarades de classe. Ton père t’ordonne de l’enlever. Tu refuses. Tu es obligé de le garder sinon tu perds le pari. Énervé, il t’envoie une nouvelle fois dans ta chambre. Tu as gagné le pari, mais tu n’as jamais enlevé le bijou. Jouant parfois avec quand tu es stressé.

La fois suivante où il lève la voix, c’est aussi la première fois qu’il lève la main sur toi. Tu es âgé de seize ans. Comme tous les jeunes de ton âge, tu te cherches. Tu découvres que tu es aussi bien attiré par les garçons que les filles. Le physique t’importe peu. Tu tombes sous le charme de leur comportement, de leur caractère. Le premier amour de ta vie est un homme. Un gentil garçon à qui tu fais énormément confiance. Un jour, tu l’invites à la maison pour simplement faire vos devoirs. Croyant que vous n'êtes que tous les deux, seuls, sans tes parents, tu acceptes un de ses baisers. Un hurlement se fait entendre. Un cri strident. Ta mère vous a vu. Perceval, tu fais rapidement sortir Thomas pour ne pas que ton père le coince. Tu lui dis que tu l’aimes et que tout va bien se passer. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Ton père te force à le suivre dans la cave. Ce soir-là, il te frappe. Te roue de coups. Il utilise sa ceinture. Il te hurle de changer. Que Dieu n’accepte pas les hommes comme toi. Avec de telles envies. Avec de tels penchants. Mais tu ne veux pas. Tu ne peux pas. Si le créateur de toute chose ne veut pas de toi et bien qu’il aille au diable. Tu ne vas pas changer pour lui. Tu ne vas pas changer pour eux. Pour leur faire plaisir.

Depuis ce jour, tu leurs fais comprendre que tu n’as pas du tout les mêmes opinions. Tu oses t’imposer. Exprimer ce que tu penses. Et ça sur n’importe quel sujet. Ce qui te vaut quelques coups. Des repas composés de pain rassis et d'eau.
Tu passes ton diplôme. Mention très bien. Mais tu décides de ne pas poursuivre tes études malgré tes facultés. Tu souhaites vivre ta vie. Loin d’eux. Seul. Sans moralisateur. Sans la peur de te faire frapper à la moindre erreur. Tu t’éloignes de ta ville natale préférant rejoindre la capitale, n’ayant plus rien qui te retient dans cette ville. Thomas ayant rompu le lendemain des coups en voyant les marques laissées sur ton corps. Il ne souhaitait pas te faire souffrir plus. Mais c’est ce qu’il a fait en te laissant tomber. Ton cœur s’est brisé. Par chance, pas ta bonne humeur.
À Londres, tu prends déjà un premier boulot qui ne te plaît pas plus que ça. Puis tu prends un boulot d’employé au cinéma. Il te plaît beaucoup plus. Ça va faire cinq ans que tu travailles dans ce cinéma.

Après sept ans sans voir ta famille, tu es invité chez eux. Un weekend chez tes parents. Dans ton ancien foyer. Ils ont une incroyable nouvelle à t’annoncer. Tu y vas un peu en marche arrière, mais tu ne peux pas refuser, Percy. Chez eux, tu n’es pas le seul invité. Tu y croises tous leurs amis. Tu t’ennuies ferme. Ne pouvant parler à personne. Trouvant les amis de tes parents biens trop fermés d’esprit. Tu es resté dans ton coin. Observant. Soupirant de désespoir. Jusqu’à ce que ton père tape légèrement sur sa coupelle de champagne clamant haut et fort qu’il a une grande annonce à faire. En résumé, il a décidé de prendre part à la chasse aux sorcières. Faire ce que le pape lui demande.

La moitié des invités sont émerveillés face à cette bonne idée et au courage que fait preuve cet homme. Et l’autre crie à la folie. Folie simple et dure d’y aller seul face à ces monstres qui trompent l’humanité depuis bien longtemps. Percy, toi, tu grinces les dents. Tu es contre tout simplement. À l’annonce de l’existence d’un monde magique, tu étais fou de joie. Tu n’as pas pu t’empêcher de sautiller partout dans ton appartement. Mais tu as pris la décision de laisser ces êtres pleins de magie résister à l’absurdité des hommes. Pensant que rien de bien dangereux pouvait leur arriver. Ils s’étaient cachés des hommes pendant des années. Vivant en harmonie avec eux. Donc tu pensais qu’ils allaient encore une fois y arriver. Se faire oublier comme après chaque massacre et chasse aux sorcières.
Mais, maintenant, tu as peur pour eux. Tu sais que ton père va-y participer. Tu sais mieux que quiconque qu’il ne va rien lâcher. Les cicatrices dans ton dos se rappellent à toi. C’est psychologique. Pour pas oublier. Surtout qu’Henry rajoute qu’il ne sera pas seul. Il ne chassera pas seul ? Non. Il sera accompagné de son fils. Toi, Percy !

« Tu le fais encore ! Tu ne prends même pas la peine de savoir ce que moi, j’en pense. Tu crois encore que je marche dans tes pas ? Mais ce n’est plus le cas depuis un moment. Je pense plus comme toi. Comme vous. Je réfléchis. J’ai même mes propres opinions et tu ne peux pas les balayer d’un revers de la main. Donc non. Non, je ne viendrais pas avec toi Papa. Je ne participerai pas à cette folie meurtrière face à un peuple qui a construit tant de choses aux nez et à la barbe de tous. Je pense que tous ceux qui partiront ne sont que des idiots. Je croyais que c’était Dieu qui avait créé toute chose sur Terre. Les sorciers sont donc ses enfants autant que vous l’êtes. Je croyais que Dieu avait dit, tu ne tueras point. N’est-ce pas ce que les chasseurs font ? Anéantir un peuple qui n’a rien fait. Qui n’a pas montré une seule once de violence contre nous. Qui n’a pas massacré femmes et enfants. Alors qu’ils auraient pu. On ne les connaissait pas. On ne savait rien sur eux y a pas si longtemps. Ils auraient pu en profiter. Ce sont eux qui ont fait le premier pas. Ils sont venus à nous pour avoir une paix et on les accueille avec la folie humaine. Réfléchissez ! Utilisez votre cerveau, si vous en avez un. N’est-ce pas les hommes les monstres dans cette histoire ? N’est-ce pas ceux qui partent en chasse pour ravir la folie d’un vieil homme qui sont dangereux ? Tout ça parce qu’il a peur. Peur que la religion ne puisse plus assouvir autant de personnes. Que des hommes partent en découvrant ce monde de magie. Que des personnes ne croient plus en cet homme unique et tout-puissant. Qu’ils croient que les sorciers peuvent surpasser Dieu tout-puissant. Il a peur de ne plus pouvoir, vous contrôlez, peur de…»

Une claque s’abat sur ta joue, avec force et douleur. Tu tournes le visage et découvres ta mère bras tendu, tremblante dans sa robe en dentelle rose. Dans son regard, tu peux lire toute la colère qu’elle éprouve à ton égard. Tu as résisté à ton père, au Pape et elle te punit. C’est la première fois qu’elle lève la main sur toi. Peut-être es-tu allé trop loin ? Peut-être n’aurais-tu pas dû imposer ainsi tes opinions ? Mais tu n’arrives pas à en être désolé. Sans dire un mot, tu montes dans ta chambre. Rapidement, tu fais ta valise récupérant bien tout ce dont tu as besoin ne souhaitant pas revenir dans cette maison. Sans un adieu, tu prends la direction de la gare pour attendre le prochain train qui est affiché pour le lendemain matin. Bien décidé à rentrer, tu dors sur une chaise comme un pauvre sans abri.

Le lendemain ce sont les premières lueurs du jour qui te réveillent peu de temps avant l’entrée en gare de ton véhicule de transport. Tu sautes rapidement dans le premier train pour Londres. Et te voilà. Chez toi.  
Joker vient se blottir contre toi de lui-même. Ronronnant. Comme s’il cherchait à te réconforter. Comme s’il savait que tu n’allais pas bien. Tu passes doucement ta main dans sa fourrure. Lui flattant le ventre. Les ronronnements t’apaisent. Laissant les derniers fragments de la fatigue envahir ton corps.

Tu finis par te lever du canapé avec l’intention de terminer ta nuit dans un vrai lit. Laissant le chat de gouttière, qui te sert de colocataire, te suivre. Perceval, ton regard se pose sur la porte de la chambre non utilisée. Tu pensais la louer, mais une bien meilleure idée vient de germer dans ton esprit. Elle ne te semble pas vraiment possible, mais…

« Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire qu’il est possible. »
Tu jettes un coup d’œil à Joker pour apporter une précision. « Alice au pays des merveilles. »

C’est une excellente idée pour contrer la lubie de ton père. Tu pourrais aider ceux qui en ont besoin. Protéger les sorciers de ton père.

« Joker ! C’est décidé ! Nous allons devenir un hôtel pour sorcier. On sera là pour les héberger en cas de problèmes. On leur offrira gîte et couvert le temps qu’il puisse trouver autre chose. Une autre planque. Qu’est-ce que tu en penses ? C’est une bonne idée, n’est-ce pas ? Bon, il faut juste savoir comment on peut se faire connaître. On va y réfléchir. »

Tu te diriges vers la petite terrasse cherchant un moyen de mettre ton plan en place. Tu allumes une cigarette pour remettre tes idées au clair. Heureusement qu’ils n’ont jamais su pour ça.

Un petit mot sur l'auteur ?

  • pseudoApplePie
  • prénomMarine
  • âge22 ans
  • Comment avez vous trouvé le forum ?Top-Site
  • Un commentaire ?Un beau petit bébé.


Famille et relations

Perceval, tu es le fils unique de Mary Brooks et Henry Rose.  Une anglaise et un français réuni par l’amour de la poésie. Tu as aimé tes parents. Tu les as adorés. Ils étaient tes héros. Tu les admirais. Tu voulais ressembler à ton père, droit, loyal. Toujours présent pour sa famille. Tu voulais aimer comme ta mère. Être aussi tendre et génial que cette femme qui te comprenait. Qui comprenait tes pleurs, tes peurs, tes envies sans te poser aucune question. Puis tu as grandi. Mûri. Tu t’es posé des questions. Tu les as vus sous un autre jour. Tu t’es fait tes propres opinions. Opinions divergeant de celle de tes parents. Radicalement différentes. Tu as défendu tes propos. Tes choix. Tu as tenu tête à ton paternel. Tenace. Ne voulant pas avoir les mêmes idées que lui. Qu’eux. Tu as fini par les détester, à ainsi te forcer. Voulant te faire changer. Dorénavant, tu as décidé de faire ce qu’il te plaît. De te rebeller contre les envies de tes parents. Dernièrement, tu te rebelles contre la dernière lubie de ton père. Il souhaite chasser les sorciers. Revivre le massacre de Salem. Perceval, tu as donc décidé d’ouvrir ta porte aux sorciers, de les aider. De faire ce qu’il te semble juste. Et puis, si par ce procédé, tu peux rencontrer un véritable sorcier ça te plairait, toi qui raffole des histoires de magie et de tout ce qui a en rapport avec le monde surnaturel.

Niveau ami, tu en as toujours eu plein sans jamais vraiment en avoir. Tu es très amical. Tu parles de tout avec tout le monde. Mais ce n’était  pas des meilleurs amis. Plutôt des connaissances, qui changeaient d’une année sur l’autre. Des camarades de classes avec qui tu parlais de la pluie du beau temps. Mais jamais de tes petites secrets, de tes envies, tes rêves. Enfin, maintenant, tu as Joker. Ton chat. Ton confident. Le pot-de-colle. Qui t'attaques sans prévenir, comme Joker avec Batman.

Caractère & physique en option


Perceval, tu es un garçon sociable. Tu parles facilement avec tout le monde. La timidité n’habite pas ton corps. Tu peux facilement aborder des gens que tu ne connais pas pour leur parler de tout et de rien. Surtout de rien. Pour poser beaucoup de questions. Tu es un véritable curieux. Tu as toujours besoin de tout connaître. De tout savoir. Aussi bien sur la vie privée des gens que des cours. Ou tout simplement, pour donner ton avis. Tu donnes ton avis sur tout. Tout le temps. « Cette voiture est belle, mais expansive. » , « Ce bleu électrique ne vous va pas du tout au teint. ». Le problème, c’est que tu ne sais jamais si ce que tu dis blesse ou non les autres. Tu es direct. Franc. Tu dis simplement ce qui te passe par la tête sans chercher à comprendre. Tu ne te demandes jamais comment ton interlocuteur va le prendre. S’il va apprécier ou non. Cette franchise est, peut-être, liée au fait que tu ne saches pas mentir. Quand tu mens ça se voit tout de suite. Tu te sens mal à l’aise. Tu joues avec tes doigts et parfois, tu fais courir la petite boule noire qui se trouve sur ta langue contre tes dents. Boule qui résulte d’un pari. Tu es toujours partant pour faire des défis plus bêtes les uns que les autres.
Tu dis tellement ce qui te passe par la tête que parfois, tu dévies sur d’autre sujet de conversation au point que tu en oublies le sujet de départ. Bon, tu ne l’oublies pas bien longtemps. Ton disque dur de cerveau n’oublie jamais rien. Tu te souviens de tout ce que tu as lu, entendu ou vu dans ta courte existence. Ce qui t’aidait beaucoup à l’école. C’est la raison pour laquelle tu as si bien réussi. Tu te rappelles de l’histoire de tous les comics que tu collectionnes. De tous les films ou séries que tu adores regarder, et tu en regardes beaucoup. Tu adores ça. Au point qu’il t’arrive de sortir des citations au plein milieu d’une phrase.

Percy, tu es plutôt altruiste. Tu es toujours partant pour aider sans jamais rien demander en retour. On peut te faire confiance. Tu es toujours présent pour tes amis. Il suffit qu’ils crient au secours pour que tu apparaisses tout de suite. Tu aimes leur faire des câlins. Tu es assez tactile. Tu es le premier à offrir ton épaule pour pleurer dessus. Alors que toi, Perceval, tu ne verses aucune larme en public. Tu souhaites paraître fort. Personne n’a besoin de te voir pleurant comme un enfant. Tu as ta fierté. Tu seras la dernière personne à demander de l’aide. Qu’en dernier recours. Et pourtant, tu adores aider les autres. Donc tu sais que ce n’est pas gênant. Ça ne doit pas être une chose gênante. Pourtant, ta fierté hurle le contraire. Malgré le fait que tu sois toujours présent pour tes proches, tu essaies de ne pas t’accrocher. Tu ne souhaites pas qu’on te brise une nouvelle fois le cœur.

Tu es une personne hyperactive. Tu n’arrêtes pas de bouger à droite et à gauche. Tu papotes tout le temps. Tu fais toujours vingt mille trucs en même temps. Par exemple, pendant que tu cuisines, et tu es un très bon cuisinier ce qui fait énormément plaisir à ton ventre, toi qui manges énormément, et bien, tu ne peux pas t’empêcher d’aller ranger le bordel que tu as laissé dans l’appartement pendant qu’en même temps, tu regardes un article sur un sujet d’informatique, sujet qui te passionne énormément. Le tout en papotant avec Joker, ne supportant pas le silence et la solitude. C’est toujours comme ça. Tu ne peux pas faire une seule chose à la fois. Ce qui occasionne, parfois, des petits accidents. Un bol qui se brise au sol ou autre. Tu es assez maladroit, tu as donc l’habitude. Tu as deux mains et deux pieds gauches.
Malgré le fait que tu manges beaucoup, tu ne prends pas beaucoup de poids, courant un peu tous les jours pour te maintenir en pleine forme. Et pour te chopper du muscle. Ton corps te complexe. Tu ne supportes pas qu’on en parle. Quand le sujet est abordé, tu peux t’énerver. Élever la voix. Et plus jamais tu ne parles à la personne qui a osé parler de ton corps de mouche. Tu es assez rancunier et têtu. Tu ne diras jamais que tu as tort et tu ne feras jamais marche arrière. Cela voudrait dire que tu t’es trompé et tu ne te trompes jamais. Tu as toujours raison. Toujours.

Pour finir, Perceval, tu rigoles tout le temps. Tu es un très bon publique. À la moindre blague, tu rigoles, qu’elle soit nulle ou non.
Tu es allergique au pollen et tu n’aimes ni le café ni le thé.
Et ton plus grand rêve est de rencontrer un sorcier pour pouvoir l’ensevelir sous des tonnes de questions. Tu es fasciné par le monde de la magie. Tu lis beaucoup de livres sur le sujet. Si tu crois aussi fort à l'existence des sorciers, c'est parce que tu crois en l'existence du surnaturel. Les fantômes, les centaures, les fées et autre lutins. Pour toi ce ne sont pas que des histoires. C'est bien réel. Tu es une personne assez superstitieuse. Jamais tu ne passeras sous une échelle. Ou posera ton pain à l'envers.

Ton physique, Perceval, ressemble à celui d’un étudiant. Tu trouves ne pas faire ton âge. Tu te donnes moins.
Tu es grand et fin. Tu donnes l’impression de pouvoir te briser à chacun des mouvements que tu fais. Des grains de beauté constellent ta peau blanche. Douce au toucher et marquée de quelques cicatrices dans le dos. Ton épiderme est fragile. Il se zèbre facilement de bleu et garde un souvenir de chacune de tes blessures. Niveau vestimentaire, tu t’habilles le plus souvent de sweat ou t-shirt à l’effigie de tes super-héros préférés et par-dessus une chemise à carreau. Percy, tu ne fais pas attention à ta façon de t’habiller. Tu n’as pas pour objectif de plaire, mais plutôt de te sentir bien dans ta peau. Sur ta langue, il est possible d’apercevoir un piercing souvenir d’un pari que toi seul a tenu.

Études supérieures & métier

Après ton diplôme A-level et malgré ton envie de continuer tes études dans la cinématographie ou l’informatique, tu laisses tout tomber, Percy. Tu préfères ta liberté. Tu fuis. Préférant prendre un boulot à Londres. Pour vivre seul. Sans l’aide de personne. Comme un grand. Pour ça, Perceval, tu cherches un boulot. Une rentrée d’argent. Tu commences par un travail de serveur dans un petit café. Ça te convient assez. Au début. Le contact avec les autres te plaît. Mais au fil des semaines tes horaires commencent à devenir pesants. Tu dois te lever tôt. Trop tôt. Donc quand ton contrat se termine, tu décides de chercher un autre job. Quelque chose qui te correspond un peu plus. Par chance, tu tombes sur une annonce pour un poste dans un petit cinéma. Avec cet emploi, tu peux continuer à payer ton loyer. Ce qui te force un peu à te lever tous les matins. De plus, ce boulot te plaît beaucoup. Travaillant dans un ciné, tu peux aller voir des films. Beaucoup de films, même ceux qui ne t’attirent pas. Sans débourser un sou.
©linus pour Epicode
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MessageSujet: Re: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitimeMer 24 Mai - 21:53

Sois officiellement le bienvenu parmi nous Perceval ! Je suis heureuse de pouvoir lire ta fiche après t'en avoir entendu parler dans le tchat Percheval Rose ~ The End 4051063023
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MessageSujet: Re: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitimeMer 24 Mai - 22:08

Hey Percy !! Officiellement bienvenue !!
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MessageSujet: Re: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitimeMer 24 Mai - 22:15

Bonsoir le moldu ! Bienvenue (et oui encore, politesse de ouf !) sur Malleus ! Personnage intéressant qu'il me tarde de rencontrer en rp ! Ecrire à la deuxième personne du singulier donne une touche originale à ta fiche ! Percheval Rose ~ The End 3899504070
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MessageSujet: Re: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitimeMer 24 Mai - 22:18


FELICITATIONS !
L'histoire commence maintenant !
Enfin te voilà validé ! Tu es enfin prêt à partir à l'aventure avec nous.
Mais avant toute chose, il faut recenser ton métier, ton avatar, ton nom et prénom afin que l'on t'ajoute aux différentes listes. Si tu possèdes un don ou un pouvoir en particulier, n'oublie pas de venir le recenser ICI . Tu peux également créer ta fiche de liens ainsi que de tenir ta liste RP à jour pour plus de simplicité dans la gestion de ton personnage. Tu as également la possibilité de demander un rp dans ce sujet, où quelqu'un de fort sympathique te répondra.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter les membres du Staff. Nous sommes là pour te guider et t'apporter tes réponses.

Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Percheval Rose ~ The End   Percheval Rose ~ The End I_icon_minitime

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