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 Ciel, des fous ° Trevelyan Valentine °

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MessageSujet: Ciel, des fous ° Trevelyan Valentine °   Ciel, des fous ° Trevelyan Valentine ° I_icon_minitimeVen 17 Aoû - 21:32

Esprit, parle-nous de ta mort.

Trevelyan Valentine & Faye Buchanan

Les rayons du soleil viennent pénétrer avec grande précaution la chambre de la jolie blonde qui, comme chaque matin, traine à quitter son lit. Non, ce n’est pas une question de motivation, mais elle aime son oreiller moelleux, la chaleur de sa couette dans laquelle elle s’enroule tel un sushi et rabat le bout de sa couette sous ses pieds. On pourrait la comparer à un papillon qui termine peu à peu son cocon ne restant plus que la tête à couvrir. Malheureusement, lorsque son réveil sonne pour la deuxième fois tout en vibrant sur la table de chevet, Faye balance sa couette d’un air dramatique avant de se lever, sa chevelure blonde en pagaille. Il est temps de se préparer à présent.



« Que porter en cette journée ? Hummmm… Est-ce qu’un chemisier comme celui-ci pourrait plaire aux fantômes ? », se demande Faye en passant contre elle la chemise blanche avec de nombreuses petites sirènes à la queue émeraude et la chevelure rousse tout en se regardant dans le miroir. «  Oui, c’est parfait ! »



C’est un sourire sur les lèvres que Faye prend la direction de la salle de bain pour se préparer tandis que son petit-déjeuner se prépare grâce à son petit coup de baguette magique. Que ferait-elle sans magie ? Faye serait tout d’abord tous les jours en retard au travail, car elle ne peut pas penser aux fantômes, repenser à la veille, faire son petit-déjeuner, prendre sa douche, ah, bien trop de tâches à faire sur un si petit laps de temps. 
Tartine en bouche, journal sous le nez et tasse de thé à la pêche et à la mangue en main, Faye s’informe avant de s’attarder sur la partie nécrologie. 



« Oh bah mince alors … Madame Micklestorm est morte écrasée par sa bibliothèque. Elle voulait récupérer l’argent que son mari venait de cacher dans un des livres, et bien … La prochaine fois, il accrochera le meuble au mur. », dit-elle en levant les yeux au ciel avant de terminer sa tasse de thé. « Mirana, je dois y aller, sois sage surtout. Et ne cherche pas à jouer avec Maya. »



Faye donne quelques graines à sa chouette tout en fixant sa chienne. Elle enfile enfin sa cape avant de s’en aller pour son bureau. Chaque matin la jeune femme ne s’est pas à quoi elle doit s’attendre, car chaque journée depuis le début de la guerre est différente et encore plus depuis sa fin. 
Aujourd’hui, le suspens ne dure pas longtemps.



« Buchanan, vous êtes en mission avec l’Auror Trevelyan Valentine. La victime est un homme de 58 ans, sa femme est devenue complètement folle. On aimerait que vous essayez d’interroger la victime, si son esprit est toujours de ce côté-ci. Vous partez maintenant. »


« Très bien, Monsieur. Oh, et bonjour. » dit-elle en attrapant le dossier qu’il lui tend avant de rejoindre l’Auror Trevelyan Valentine sur le lieu du drame.



Faye entre dans une petite maison bancale située non loin de l’allée des embrumes. Elle commence par traverser la petite entrée où chaussures et capes jonchent le sol avant d’arriver dans la salle à manger. La jeune femme reste dans l’encadrement de la porte pour détailler du regard la pièce : pas d’esprit. Alors que fait-elle ici ? 
Ses yeux noisettes se posent sur le corps inerte d’un homme en sur-poids, le visage violet et une corde épaisse autour de son cou lui permet de rester pendu à la poutre. A ses pieds se trouve une tasse de café brisée en plusieurs morceaux bien net et dont le liquide sombre se laisse aspirer par la tomette. Un suicide ? Si c’est le cas, Faye n’a clairement rien à faire ici. Lorsqu’une personne se suicide, il n’y a pas de fantôme car c’est le choix de la victime. Alors que pour un meurtre l’esprit de la victime peut se retrouver perdue sur le lieu de sa mort.



« Bonjour tout le monde. », dit-elle en s’avançant vers l’Aurore avec qui elle doit faire équipe. « Il n’y a clairement pas d’esprit ici, qu’est-ce que je fais-»



La jeune Buchanan s’arrête tout de suite lorsqu’une petite taille rondelette mesurant à peine un mètre quarante cinq vient lui attraper les épaules pour la secouer.



« Il est mooooooort. ce gros lard m’a demandé une tasse de café. Il est mooooort. Vous savez, vous savez, j’ai lâché la tasse, vous la voyez, regardez la bien, je l’ai cassé. Ohlala mon mari est mort, bon débarras ! » lui dit la femme d’environ cinquante ans avant de se diriger vers l’Auror. « Vous pourriez le remplacer ? Ô ciel mon mari, il aimait nos siestes crapuleuses, vous allez aimer vous aussi. Venez venez, laissons ce corps là. Mon dieu, mon mari est mort. »



Elle tourne les talons après avoir caressé la joue de l’homme avant de tourner en rond dans la pièce. Faye se gratte la tête tout en fronçant les sourcils, il est clair que le choc vient d’assommer cette dame lui faisant perdre la tête. 



« Je suis Faye Buchanan. Mon chef m’a envoyé ici pour interroger un esprit, il semblerait que cette mort soit … suspecte ? » Demande Faye en regardant les notes prisent pas son chef. « Mais euh … comment dire … Il n’y a pas d’esprit. Pas d’esprit pas d’interrogatoire ou d’aide. J’peux rien faire. »



La blonde hausse tout simplement les épaules, sans fantôme elle ne peut pas travailler, et elle ne peut pas l’appeler ou quoi que se soit comme certains sorciers ont tendance à penser. Son regard finit par se poser sur un homme, le portrait craché de la victime, rien de bien étonnant étant donné que c’est le fantôme de la victime qui commence à hurler dans la pièce.



« Espèce de vieille sorcière boutonneuse ! » , hurle la victime sur sa femme. « Arrêtes de tourner en rond tu fais bouger ta graisse ! Et c’est moi le gros lard ?! »



L’homme ou plutôt l’esprit tourne autour de sa femme, ne la quittant pas une seconde. Il s’agace, les poings serrés il lui hurle encore et encore dessus. 
Faye soupire, cette affaire ne sera pas du gâteau, un esprit énervé peut tout casser, tout renverser, tout faire. Un esprit et une sorcière énervés en même provoque un vacarme qui donne la migraine à la jeune femme. Il faut calmer le couple avant que la maison explose. 



« Je vais commencer par le calmer, il me donne la migraine. Ensuite, je l’interrogerais. Vous pourriez vous occuper d’elle ? Jouez les romantiques, elle est sous votre charme. » dit-elle en souriant finement avant de poser son dossier. « Vous pourriez me donner son petit nom ? J’aimerais vérifier que c’est bien lui, ou que l’identité n’est pas fausse du moins. »

 Faye vient tapoter l’épaule de son nouveau collègue en signe d’encouragement avant de s’en aller au fond de la pièce pour attirer l’attention de la victime.

Face à un esprit énervé, il existe plusieurs méthodes, mais une seule fonctionnerait réellement. Faye a sa propre méthode, elle n’a pas envie de toujours, même jamais, suivre la procédure. C’est donc tranquillement qu’elle se place face à l’esprit.



« Bonjour mon petit monsieur, je suis Faye. Et vous ? C’est quoi votre petit nom ? »



«  Bouge de là grognasse ! »



« Alors, moi c’est Faye, pas grognasse, et vous ? »



«  ELLE EST FOLLE ! ELLE EST FOLLE !  » lui hurle l’esprit au visage.



«  IL FAUT LA BRULER !!!!  » Hurle sa femme qui en profite pour balancer un vase que Faye évite de justesse, mais qui traverse le fantôme. 



Une moue se dessine sur le visage de Faye qui se tourne vers son collègue. La journée risque d’être longue, très longue et ils ne sont surement pas près de résoudre cette affaire avec de la bonne humeur et des sourires. L’esprit lui est fou de rage, se faire traverser par un vase aurait dû le chatouiller, il ne doit pas aimer ça alors. 



DEV NERD GIRL

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Ministère
Trevelyan Valentine
Trevelyan Valentine
Ministère
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Points RP : 2577

Localisation : A la chasse aux Mangemorts, quelque part en Grande-Bretagne

Emploi/loisirs : Auror


Parchemin d'identité
Âge: 38 ans
Crédits :
Statut: Sang mêlé

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MessageSujet: Re: Ciel, des fous ° Trevelyan Valentine °   Ciel, des fous ° Trevelyan Valentine ° I_icon_minitimeSam 1 Sep - 18:18

Dans l'enchevêtrement de bicoques frisant le miteux, une gadoue nauséabonde ruisselant au-delà du caniveau lui dégueulassait ses rangers. Trevelyan s'en extirpa en maugréant, balayant l'étroite venelle d'un regard peu amène. Le passage des années n'avait jamais rien atténué à ce sentiment de révulsion que lui inspirait l'Allée et ses faubourgs les plus immédiats dès qu'il y posait le pied ; en plus de puer la magie noire, l'endroit macérait dans un dénuement progressif qu'exigeait la clandestinité de ses occupants. L'Auror en arpentait les sinuosités enveloppé du secret d'une cape noire, qui voilait aux regards de ces charmants riverains la veste en cuir et le visage qui l'auraient trahi à coup sûr ; il ne s'agissait pas non plus que cette imbécile de Tricia Rose aille piailler dans toutes les pages de la Gazette qu'elle l'avait vu traîner dans les parages. Il lui avait suffi que la journaliste Métamorphomage foire une de ses enquêtes ; il n'y en aurait pas de deuxième.

C'est en se coulant dans les ombres des Embrumes que Trevelyan continua sa marche, évitant les vendeurs à la sauvette cherchant à écouler l'un ou l'autre produit illégal, ignorant les grincements des enseignes peu à peu grignotées de rouille. L'envie le démangea d'aller toquer au carreaux de chez Barjow et de lui adresser un petit signe de la main pour lui rafraîchir la mémoire sur leur petit entretien à venir, mais il n'y avait aucune seconde à perdre dans l'affaire qui l'occupait à présent. Grady Plaskett était mort, et à peu de choses près, le témoignage qu'il était sensé lui livrer le lendemain aussi.

Serrant les dents, Trevelyan esquiva une bouffée de vapeurs fétides surgie d'un soupirail à hauteur des pavés et maudit une énième fois ce quartier tandis qu'il arrivait en vue de la maison du mort. Il n'avait encore jamais réussi à déterminer qui était le plus crétin, du Ministère qui laissait prospérer joyeusement la plus basse des vermines du monde sorcier à deux mètres seulement de sa rue la plus commerçante, ou des criminels qui restaient terrés ici tout en sachant que les Aurors venaient régulièrement donner des coups de pieds dans la fourmilière. Quoiqu'en matière de planque, ce trou à rats ressemblait plus à un repaire de cloportes qu'il mourait d'envie d'écraser sous ses bottes qu'autre chose.

La masure servant de maison aux Plaskett se profila devant lui dans toute sa précarité ; bancale et n'arborant plus que des murs effrités, elle laissait filtrer des hurlements aigrelets qui lui firent hausser le sourcil, et regretter aussitôt de ne pas avoir fumé une clope de plus pour affronter ce bordel.

Poussant la porte du bout de ses rangers, Trevelyan rabattit le capuchon de sa cape et s'en défit même entièrement, jouant brièvement des épaules en se réhabituant à la sensation familière du cuir chuintant de sa veste. Avant de franchir le seuil de la maison, l'Auror enregistra d'un regard tous les détails que le hall négligé donnait à voir ; capes et chaussures parsemaient le sol dans une ébauche de capharnaüm qui n'augurait rien de bon. Prenant garde de ne rien toucher ni modifier de l'environnement, il enjamba les vêtements délaissés pour se diriger vers la salle à manger, où oscillait au bout de sa corde le témoin capital de son prochain coup de filet.

Génial. Plissant les yeux, il embrassa d'un regard la pièce entière ; depuis la femme qui se balançait accroupie dans un coin de la pièce au principal intéressé, témoin à maintes reprises d'allers et venues de Grimwulf Ivers, Mangemort en cavale, loup-garou meurtrier et plus fidèle adepte des démentiels projets de Greyback.

- Trevelyan Vlalentine, Auror. annonça-t-il sobrement à la femme, qui ne semblait pas l'entendre. Je suis ici concernant votre mari, une collègue du Ministère ne tardera pas à nous rejoindre pour comprendre ce qui s'est passé continua-t-il néanmoins.

Le parquet gris de poussière grinça sous ses pas lorsqu'il en esquissa quelques uns direction du cadavre. Il était rare dans le monde sorcier d'avoir sous le nez une mort aussi moldue. Le peu de suicides qu'il avait eu à constater au cours de sa carrière portait la marque de la sorcellerie - poison, malédiction à retardement, sortilège fatal ; mais la pendaison n'avait jamais fait partie du répertoire. Pourquoi se pendre, d'ailleurs ? Le Ministère avait garanti à Plaskett une protection totale en échange de ses informations, et avait par ailleurs promis de fermer gentiment les yeux sur son petit trafic foireux d'ingrédients illégaux. Il n'avait aucun intérêt à tirer le rideau là, maintenant.

Trevelyan détourna les yeux du visage affreusement boursouflé par l'asphyxie du pendu, et passait une main pensive sur le chaume qui tapissait sa mâchoire lorsque la porte d'entrée grinça dans son dos. Sans doute l'arrivée du Ministère. En faisant volte-face, il découvrit la silhouette menue d'une petite blonde qu'il n'avait encore jamais croisé dans les couloirs du boulot ; les occasions de travailler avec la Section des Esprits restaient rares. Faye Buchanan, lui avait-on annoncé. Lançant un bonjour à la cantonnade auquel il répondit d'un signe de tête, elle sembla aussitôt s'emparer des lieux avec un naturel déconcertant, pas le moins du monde perturbée par le corps sans vie qui se balançait au bout de sa corde au beau milieu de la salle à manger.

Sacré sang-froid, songea-t-il avant de voir dérailler le fil de ses pensées par l'interruption brutale de la femme, qui de prostrée passa à l'hystérique en une fraction de seconde.

- Il est mooooooort. ce gros lard m’a demandé une tasse de café. Il est mooooort. Vous savez, vous savez, j’ai lâché la tasse, vous la voyez, regardez la bien, je l’ai cassé. Ohlala mon mari est mort, bon débarras ! Une fraction se seconde, autant de temps qu'il lui fallut pour dégainer la baguette de noyer qu'il garda précautionneusement en main, prêt à maîtriser les écarts et sursauts d'humeur de la veuve. Vous pourriez le remplacer ? Ô ciel mon mari, il aimait nos siestes crapuleuses, vous allez aimer vous aussi. Venez venez, laissons ce corps là. Mon dieu, mon mari est mort !

Réprimant un rictus de dégoût, Trevelyan repoussa fermement l'affreuse caresse qu'elle glissa sur sa joue avant de se détourner pour mieux tourner en rond dans la pièce. Peut-être qu'il aurait mieux valu faire appel à l'unité psychiatrique de Sainte-Mangouste, en fin de compte. La Section des Esprits semblait pouvoir se charger du fantôme qui venait de se pointer, mais il doutait de pouvoir obtenir une conversation cohérente avec la femme désorientée qui errait sans faire sens dans sa propre maison. Mais Buchanan semblait avoir du fil à retordre avec l'esprit, qui se mit à hurler de concert avec sa femme en une cacophonie qui se mit à rogner les nerfs de l'Auror.

- Je vais commencer par le calmer, il me donne la migraine. Ensuite, je l’interrogerais. Vous pourriez vous occuper d’elle ? Jouez les romantiques, elle est sous votre charme. Vous pourriez me donner son petit nom ? J’aimerais vérifier que c’est bien lui, ou que l’identité n’est pas fausse du moins.

Il haussa un sourcil. Avec son petit chemisier brillant de sirènes aux cheveux soyeux, sa joie de vivre et ses airs ingénus, l'experte de la Section des Esprits ne cadrait carrément pas avec le sinistre arrière-plan de la scène qu'ils occupaient. C'était un supposé suicide, et Trevelyan avait bien l'intention de lui faire comprendre qu'il n'avait pas la moindre attention de faussement conter fleurette à une dégénérée pour la laisser libre de ses mouvements. Ce qu'il se jouait ici, au coeur de l'Allée des Embrumes, méritait plus d'attention que le bordel ambiant ne lui laissait avoir, et il ne lui fallut plus qu'un instant pour prendre sa décision.

- FERMEZ-LA ! assena-t-il au couple Plaskett d'une voix qui ne tolérerait aucune chialade supplémentaire. Vous, dit-il en pointant un doigt spécialement vers la veuve, lancez quoi que ce soit d'autre sur quiconque dans cette pièce et on part tout de suite pour le Ministère.

La main qu'il gardait dissimulée dans une mitaine de cuir pour en voiler les cicatrices se posa sur l'avant-bras de Faye.

- Un instant.

L'attirant à l'écart, l'Auror plongea le bleu acier de ses yeux dans le regard de Faye.

- Mrs Buchanan, qu'on soit d'accord vous et moi. Ce n'est ni un jeu de société ni un concert de Moldubec, et aucun d'entre nous n'obtiendra les réponses dont il a besoin dans un tel bordel. Vous avez vos méthodes et j'ai les miennes, et les miennes n'incluent pas qu'on risque de se prendre un vase dans la gueule au beau milieu d'un interrogatoire. Si qui que ce soit ici risque d'être en danger ou de mettre en danger l'enquête, je boucle tout et j'embarque madame au Ministère. En revanche, mes méthodes incluent qu'on se mette d'accord entre nous avant de partir chacun de son côté vers la victime et le seul témoin.

Il reprit son souffle et, profitant d'un moment d'accalmie qu'il exigea d'un regard insistant sur le couple Plaskett, Trevelyan enchaîna aussitôt.

- Ce type, là, c'est Grady Plaskett. Sa femme, Nigella. Lui, un magouilleur à la ramasse qui trafiquait des ingrédients interdits à la vente. La seule raison de ma présence ici en lieu et place de quelqu'un de la Brigade, c'est qu'il était sensé comparaître demain à mon bureau pour délivrer des informations de la première importance sur Grimwulf Ivers, un ancien Mangemort, et le loup-garou qui saigne les environs depuis des semaines. Au vu des garanties que le Ministère lui avait données, il n'avait aucune - il insista sur le mot - raison de se pendre. Avant de reprendre votre entretien, laissez-moi figer la scène du crime et photographier les lieux. Je pense faire appel à Sainte-Mangouste pour rapatrier madame à l'hôpital dans quelques instants pour ne pas qu'elle l'énerve davantage, et l'on pourra procéder à l'interrogatoire de ce cher Grady ensemble.

Son haussement de sourcil, comme un point d'interrogation, semblait attendre de Faye le moindre geste pour confirmation de leur plan d'attaque.
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